Journée internationale du bonheur 2024

La Journée internationale du bonheur —appelée aussi Journée mondiale du bonheur—  reconnaît que le bonheur est un objectif humain fondamental et appelle les pays à aborder les politiques publiques de manière à améliorer le bien-être de tous les peuples.

En désignant une journée spéciale pour le bonheur, l’ONU vise à attirer l’attention du monde sur l’idée que la croissance économique doit être inclusive, équitable et équilibrée, de manière à promouvoir le développement durable et à réduire la pauvreté. De plus, l’ONU reconnaît que, pour atteindre le bonheur global, le développement économique doit s’accompagner d’un bien-être social et environnemental.

La Journée internationale du bonheur est célébrée dans le monde entier le 20 mars  et a été conceptualisée et fondée par un philanthrope, militant, homme d’État et conseiller spécial des Nations Unies Jayme Illien pour inspirer, mobiliser et faire progresser le mouvement du bonheur mondial.

En 2011, Illien a présenté l’idée et le concept de créer une nouvelle journée mondiale de sensibilisation, la Journée internationale du bonheur, à de hauts fonctionnaires des Nations Unies.

Illien a fait campagne avec succès pour unir une coalition mondiale des 193 Etats membres des Nations Unies, et a obtenu l’approbation du Secrétaire général des Nations Unies de l’époque, Ban Ki moon, pour soutenir le concept d’établir un nouveau calendrier international officiel des Nations Unies. comme la Journée internationale du bonheur.

Illien est l’auteur de la résolution 66/281 de l’ONU «Journée internationale du bonheur», qui a finalement été adoptée par le consensus unanime des 193 États membres de l’ONU à l’Assemblée générale des Nations Unies le 28 juin 2012. Jayme Illien a choisi le 20 mars pour sa signification d’équinoxe de mars, phénomène universel ressenti simultanément par l’humanité tout entière, et qui survient au moment où le plan de l’équateur de la Terre traverse le centre du disque solaire.

Le 17 septembre 2012, le Secrétaire général Ban Ki-moon a souligné l’importance de la nouvelle journée internationale du bonheur dans son discours de clôture de la 66ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies, « Monsieur le Président, pendant votre mandat, l’Assemblée générale a également institué une nouvelle observance sur le calendrier de l’ONU: la Journée internationale du bonheur. Espérons que grâce à notre travail, y compris dans la nouvelle session qui commence demain, nous pouvons transformer cette aspiration en réalité.  »

La première journée internationale du bonheur a été célébrée le 20 mars 2013.

Histoire et contexte de la Journée internationale du bonheur

Fondée le 28 juin 2012, La résolution 66/281 de la Journée internationale du bonheur est le fruit des efforts du conseiller des Nations Unies Jayme Illien [ qui a conceptualisé l’idée d’une résolution de l’ONU reconnaissant la poursuite du bonheur comme un droit humain et un « objectif humain fondamental ».

Jayme Illien, fondateur de la Journée internationale du bonheur, et Illien Global Public Benefit Corporation, ont reçu le soutien de l’idée de la nouvelle Journée internationale du bonheur du Président de l’Assemblée générale des Nations Unies et du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon. ainsi que tous les 193 états membres de l’ONU pour rédiger et adopter une nouvelle résolution de l’ONU pour créer la nouvelle journée internationale, la Journée internationale du bonheur. Jayme Illien est l’auteur de la résolution 66/281 de l’ONU et a fait campagne pour son adoption par consensus des 193 États membres.

L’initiative de déclarer un jour de bonheur est inspirée du Bhoutan – un pays dont les citoyens sont considérés comme l’une des personnes les plus heureuses du monde. Le Royaume de l’Himalaya s’est fait le champion d’une mesure alternative de la prospérité nationale et sociétale, appelée l’indice du bonheur national brut (BNB). Le BNB rejette l’utilisation exclusive de la richesse économique et matérielle comme indicateur du développement, et adopte plutôt une perspective plus holistique, où le bien-être spirituel des citoyens et des communautés est accordé avec autant d’importance que leur bien-être matériel.

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