Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture

La Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture est célébrée chaque année le 26 juin pour rappeler que la torture humaine est non seulement inacceptable, mais aussi un crime.

Comment est célébrée la journée ?

Les centres de réadaptation et les organisations des droits de l’homme du monde entier célèbrent la Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture le 26 juin de chaque année. La journée sert à rappeler aux gens que la torture est un crime. Cet événement donne à chacun une chance de s’unir et d’exprimer ses opinions contre la torture humaine.

Des organisations, notamment le Conseil international de réadaptation pour les victimes de la torture et Amnesty International, ont joué un rôle actif dans l’organisation d’événements à travers le monde pour promouvoir cette journée. Les activités peuvent inclure: des expositions de photos; la distribution d’affiches et d’autres matériels pour sensibiliser les gens aux problèmes liés à la torture humaine; et publicités télévisées.

Contexte

Le 26 juin 1987, la Convention contre la torture est entrée en vigueur. Il s’agissait d’une étape importante dans le processus de mondialisation des droits de l’homme et reconnaissant que la torture et les peines ou traitements inhumains ou dégradants devaient être universellement illégaux. En 1997, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de marquer cette date historique et a désigné le 26 juin de chaque année la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture.

La première Journée internationale de soutien aux victimes de la torture s’est tenue le 26 juin 1998. Les Nations Unies ont appelé tous les gouvernements et les membres de la société civile à prendre des mesures pour faire échec à la torture et aux tortionnaires partout dans le monde. Cette même année a marqué le cinquantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui proclame que « nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ».

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